verwo

Aussi absurde que la vie puisse être, verwo ne renonce pas à viser lucidité au gré de cette situation, ce qui se traduit apparemment pour ce type en paroles enchevêtrées de sous-ententes. Verwo arpente ainsi des domaines quotidiens par ses prismes d’anxiété, d’espoir, de sérénité, de perplexité, bref, tout ce que le doute invite à l’engourdissement de la certitude (si tout se passe comme imprévu).

Cette année s’écouleront des pièces annexes à raison hebdomadaire et des pièces primitives (les masseges) à raison mensuelle qui composeront un 1er EP le 1er Avril sur les canaux digitaux et en open source sur son site (donc partitions où enregistrements à échantillonner pour toute production actuelle qui manquerait d’instrumental) – verwo répond sinon volontiers aux requêtes esthétiques spécifiques. Cet EP sera le résultat d’expérimentations avec l’État Des Choses (et des matières) en 4 titres des états suivis de 4 erratums qui vadrouillent de plus en plus loin de l’espace harmonique conçu par chez nous.

Mais avant cela, passage à Ébullition accompagné d’Alexis Simonetta et Alex pour une projection du muet l’Argent, qui sera sonorisé principalement à l’improviste, tel qu’au Pommier où le trio se produisit récemment.

Pour citer quelques influences : Maurice Raviohead, Zheanna Erose, Wyschnegradsky, Dirty Projectors, Villa Lobos, Nura Mint Seymali, Pythagore, Héraclite et d’autres.

Quant à ses experiences notoires, il joua de la guitare et arrangea pour le groupe de post-rock Hubris., composa pour du cinéma (Sarah Spielt Ein Werwolf, Vecteur Z, ), et de la danse (Requiem).